J'ai voyagé jusqu'aux confins du monde,
Visité chaque contrées, chaque forêt,
Errant même en des lieux qu'il ne serait bon de nommer pour la prospérité,
Je me nomme : Lairëlenath
Après avoir quitté le berceau verdoyant et luxuriant qui m'a vu naître, je reviens parmi les miens. Auprès de mon cœur, la ou convergent passé, présent, et avenir; la ou la trame dimensionnelle des âges me porte.
Mes yeux en ont vu plus qu'il n'est supportable, en mon regard se déploie des mondes et des mondes que seuls les plus vénérables esprits de cette Terre seraient concevoir.
Filles et Fils de la sylve, notre mère à guidé chacun de nos aïeux, chacun de nous, à être ce que nous sommes en ce jour. Et le jour est venu... Par la volonté de l'inexorable écoulement des univers, et par nos actions.
Le printemps sera rendue à ce monde.
Les échos de la vie furent transporté à tout Athel Loren, se mêlant au vent et bruits de la forêt en un murmure.
Imbi Menel Cemenyï mene tië Rano.
Valar valuvar.
Un tapis de mousse d'un vert clair généreux recouvrait l'endroit, encadré d'arbres séculaires à l'écorce noueuse dont semblait émaner une douce lueur. Bourgeons et fleurs s'épanouissaient à vu d'œil au milieu des feuillages denses et luxuriants.
C'était un lieu antique que nul n'avait visité depuis un âge... Le crépuscule se joignait à l'aurore, prêtant à la clairière une aura surnaturelle... Lorsque de la source aux éclats miroitant émergèrent conscience et corp. Sur les saillis rocheuses entourant le bassin ou ondulaient lentement des vents de magie aux couleurs vivaces, se tenaient 3 majestueux Grand aigle au plumage blanc et fauve.
Même pour Athel Loren, le lieu n'était pas commun... Chaque brise étaient saturé de vie, exsudant les parfums et les airs d'autres mondes, se mêlant aux esprits de la forêt, fées et farfadets qui emplissaient le lieu de leurs rondes et de leurs mélopées.
Les 1er elfes ayant répondu à l'appel venaient de pénétrer en ce lieu...
J'inaugure
Visité chaque contrées, chaque forêt,
Errant même en des lieux qu'il ne serait bon de nommer pour la prospérité,
Je me nomme : Lairëlenath
Après avoir quitté le berceau verdoyant et luxuriant qui m'a vu naître, je reviens parmi les miens. Auprès de mon cœur, la ou convergent passé, présent, et avenir; la ou la trame dimensionnelle des âges me porte.
Mes yeux en ont vu plus qu'il n'est supportable, en mon regard se déploie des mondes et des mondes que seuls les plus vénérables esprits de cette Terre seraient concevoir.
Filles et Fils de la sylve, notre mère à guidé chacun de nos aïeux, chacun de nous, à être ce que nous sommes en ce jour. Et le jour est venu... Par la volonté de l'inexorable écoulement des univers, et par nos actions.
Le printemps sera rendue à ce monde.
Les échos de la vie furent transporté à tout Athel Loren, se mêlant au vent et bruits de la forêt en un murmure.
Imbi Menel Cemenyï mene tië Rano.
Valar valuvar.
Un tapis de mousse d'un vert clair généreux recouvrait l'endroit, encadré d'arbres séculaires à l'écorce noueuse dont semblait émaner une douce lueur. Bourgeons et fleurs s'épanouissaient à vu d'œil au milieu des feuillages denses et luxuriants.
C'était un lieu antique que nul n'avait visité depuis un âge... Le crépuscule se joignait à l'aurore, prêtant à la clairière une aura surnaturelle... Lorsque de la source aux éclats miroitant émergèrent conscience et corp. Sur les saillis rocheuses entourant le bassin ou ondulaient lentement des vents de magie aux couleurs vivaces, se tenaient 3 majestueux Grand aigle au plumage blanc et fauve.
Même pour Athel Loren, le lieu n'était pas commun... Chaque brise étaient saturé de vie, exsudant les parfums et les airs d'autres mondes, se mêlant aux esprits de la forêt, fées et farfadets qui emplissaient le lieu de leurs rondes et de leurs mélopées.
Les 1er elfes ayant répondu à l'appel venaient de pénétrer en ce lieu...
J'inaugure